Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
1 000 employés gouvernementaux envoyés pour détruire un temple bouddhiste, 200 villageois se sont rassemblés pour tenter de les arrêter.
Les autorités de la municipalité de Chongqing démolissent les symboles bouddhistes et taoïstes, dans le cadre de la campagne nationale de répression des statues religieuses en plein air.
Présenté comme un modèle de « soutien au PCC et de patriotisme » pour avoir rendu hommage aux héros révolutionnaires, le temple du Hebei succombe néanmoins à la persécution religieuse.
Les lieux de culte bouddhistes et taoïstes sont victimes de la répression religieuse du gouvernement qui se sert de faux prétextes pour la mener.
Les autorités de la capitale du Hubei continuent à réprimer les croyants sous prétexte de « nettoyer la ville » avant le début des Jeux mondiaux militaires.
Dans toute la Chine, les autorités détruisent des lieux de culte à des horaires étranges pour éviter les protestations des croyants à qui on ne laisse aucune chance d’exprimer leurs doléances.
Le parc de la forêt de Wanshan dans la province du Henan abritait autrefois 13 temples. Suite à de nombreuses inspections gouvernementales, ils ont tous été mis sous scellés et les fidèles ont été chassés.
En prévision des jeux, les autorités locales procèdent à une purge complète des églises de maison chrétiennes, des temples bouddhistes et d’autres lieux de culte sous prétexte de « maintien de la stabilité ».
Le PCC intensifie ses efforts d’éradication du bouddhisme indépendant. Les temples et statues sont détruits, et les moines sont « renvoyés chez eux » sous divers prétextes.
Dans tout le pays, le PCC « transforme » les temples en auditoriums culturels, bureaux gouvernementaux et centres d’activités pour personnes âgées. C’est l’un des subtils subterfuges que le PCC utilise pour persécuter les croyants.
Le gouvernement s’empare sans arrêt des lieux de culte bouddhistes et taoïstes. Les croyants sont dispersés et la religion est remplacée par des activités culturelles « rouges ».
Les gouvernements provinciaux et municipaux intensifient les purges contre les églises et les temples pour montrer à leurs supérieurs les progrès qu’ils ont réalisés en matière de répression de la religion.
Deux temples du Shanxi ont fait l’objet de mesures répressives : les autorités ont pris le contrôle total de l’un, tandis que l’autre a été réduit en ruines, et le lama arrêté au passage.
